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LA MACHINE INFERNALE de Jean COCTEAU (1932)

COCTEAU ne se reconnaîtra jamais dans l'esthétique dadaïste, ni dans les recherches des surréalistes, avec lesquelles il entrera d’ailleurs en conflit. Mais il reste marqué par une donnée fondamentale du Surréalisme, la place que ce mouvement accorde à l’inconscient, à la volonté de rendre sa force d'expression à l'invisible, au rêve, au hasard qui ponctuent le réel. Toutes ses œuvres baignent dans une atmosphère à la frontière du rêve et de la réalité, ouvrant la porte aux forces invisibles, toujours prêtes à se manifester.

«  Un monde parallèle, un rêve éveillé. »

 

Projet fictif – 2015.

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